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Latest Des nouvelles

Le Rosaire en marchant à Moutiers

Le ROSAIRE EN MARCHANT consiste à prier les 3 ou 4 mystères du Rosaire, en marchant environ 1H30, soit le temps d’un Rosaire.
Il est souhaitable que la marche parte d’une église ou mieux encore d’une chapelle dans la campagne, afin de permettre d’emprunter des sentiers ou à défaut des petites routes très peu fréquentées par les voitures.
L’avantage d’un sentier est qu’il n’exige pas d’autorisation préfectorale.
Le ROSAIRE EN MARCHANT c’est également un moment de solidarité entre marcheurs et non marcheurs.
Les personnes dont la santé ne permet pas de marcher 1H30 sont les bienvenues et peuvent effectuer avec les marcheurs un circuit très court (ou de rester dans la chapelle) : ce qui permet de débuter en commun les deux premières dizaines de chapelet.

A dieu Pape François

Le pape François s’est éteint ce lundi 21 avril 2025 à Rome, à l’âge de 88 ans, mettant fin à douze années d’un pontificat marqué par l’humilité, l’engagement en faveur des plus vulnérables et la volonté de réformer l’Église. Dès l’annonce de sa disparition, de nombreuses réactions ont afflué, notamment des évêques français.

Mgr Eric de Moulins-Beaufortarchevêque de Reims et Président de la Conférence des évêques de France,

En ce lundi de Pâques, en tenue de service, sans doute comme il le désirait, le pape François est mort.

Depuis sa première apparition au balcon de Saint-Pierre, il demandait, à la fin de toute rencontre, que l’on prie pour lui : « Et surtout, priez pour moi ». En ce jour, de tout cœur, nous le lui disons : « Très Saint-Père, nous prions pour vous, nous catholiques, mais aussi beaucoup d’hommes et de femmes à travers le monde qui ont entendu dans votre voix une voix de la conscience de l’humanité ».

Inlassablement, le pape François a agi pour que l’Église soit plus synodale, débarrassée de tout cléricalisme, en mouvement vers les périphéries, les périphéries de l’Église et celles de nos sociétés, porteuse de la joie de l’Évangile du Christ Jésus. Il a donné aux catholiques le goût d’être des disciples-missionnaires. Avec opiniâtreté, il a appelé l’humanité à croire en la fraternité, notamment en s’appuyant sur le dialogue entre les religions, et à prendre en compte en priorité les besoins et les attentes des personnes pauvres ou en précarité. Face à la crise écologique, il a renouvelé la réflexion en invitant à soigner « la maison commune », à louer le Créateur, à unir attention à l’environnement et attention aux personnes victimes des injustices sociales. Il a été le pape de l’année sainte de la miséricorde et du jubilé de l’espérance.

Nous, Français, rendons grâce tout spécialement pour la venue du pape François à Strasbourg (novembre 2014) mais surtout à Marseille en septembre 2023 et à Ajaccio en décembre dernier. Nous gardons en mémoire son appel plein de gravité et d’émotion à ce que notre pays et les autres pays européens ne perdent pas leur âme en se fermant aux migrants qui viennent chercher la possibilité d’une vie meilleure pour eux et les leurs. Nous ressentons encore la vibrante ovation qu’il a reçue au Stade Vélodrome : « Bonjour, Marseille ; bonjour, la France » et la fierté joyeuse qui parcourait les rues d’Ajaccio et les chants fervents de l’assemblée du Casone. Nous méditons encore sur le tressaillement de Marie qu’il a évoqué dans son homélie de Marseille.

Les fruits de ce pontificat seront à découvrir dans les années qui viennent. Il a marqué assurément la pratique pastorale de l’Église par son style simple, encourageant, sa référence constante à la miséricorde de Dieu, sa volonté que les sacrements soient accessibles à tous ceux qui les demandent, et son rappel persévérant de la croix du Christ Jésus sans laquelle l’Église ne serait qu’une ONG de plus. Elle est le signe effectif de l’amour de Celui qui « désire d’un grand désir » le salut de tous.

Des messes et des veillées seront organisées par toute la France pour prier pour le pape François. La Conférence des évêques remercie tous ceux et celles qui s’y joindront ou s’y associeront. Elle remercie tous ceux et celles de toute religion ou sans religion qui expriment en ces jours leur gratitude. Le pape François a voulu être un « compagnon de Jésus ». Que le Seigneur l’accueille dans sa compagnie éternelle, près du Père. Merci, pape François. Plus que jamais, priez pour nous.

« Il les aima jusqu’au bout » (Jn 13, 1-15) (P.Verkys)

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

Avant la fête de la Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde à son Père, Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout. Au cours du repas, alors que le diable a déjà mis dans le cœur de Judas, fils de Simon l’Iscariote, l’intention de le livrer, Jésus, sachant que le Père a tout remis entre ses mains, qu’il est sorti de Dieu et qu’il s’en va vers Dieu, se lève de table, dépose son vêtement, et prend un linge qu’il se noue à la ceinture ; puis il verse de l’eau dans un bassin. Alors il se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge qu’il avait à la ceinture. Il arrive donc à Simon-Pierre, qui lui dit : « C’est toi, Seigneur, qui me laves les pieds ? » Jésus lui répondit : « Ce que je veux faire, tu ne le sais pas maintenant ; plus tard tu comprendras. » Pierre lui dit : « Tu ne me laveras pas les pieds ; non, jamais ! » Jésus lui répondit : « Si je ne te lave pas, tu n’auras pas de part avec moi. » Simon-Pierre lui dit : « Alors, Seigneur, pas seulement les pieds, mais aussi les mains et la tête ! » Jésus lui dit : « Quand on vient de prendre un bain, on n’a pas besoin de se laver, sinon les pieds : on est pur tout entier. Vous-mêmes, vous êtes purs, mais non pas tous. » Il savait bien qui allait le livrer ; et c’est pourquoi il disait : « Vous n’êtes pas tous purs. » Quand il leur eut lavé les pieds, il reprit son vêtement, se remit à table et leur dit : « Comprenez-vous ce que je viens de faire pour vous ? Vous m’appelez “Maître” et “Seigneur”, et vous avez raison, car vraiment je le suis. Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi, vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. C’est un exemple que je vous ai donné afin que vous fassiez, vous aussi, comme j’ai fait pour vous. 

Méditons

Si nous avons quelque chose de prégnant à retenir c’est l’humilité de Jésus qui se met au service de ses disciples. C’est la plus grande leçon à tirer de la Cène. Le service c’est l’amour pur et vrai. L’amour pur et vrai doivent régir notre volonté de servir. On y retrouve la notion de la gratuité absolue. Je ne sers pas pour occuper mon temps libre, je sers parce que j’aime. Nous avons peut-être à purifier les motifs des services que nous rendons si ce n’est pas par amour et pure gratuité sans attendre une quelconque reconnaissance.
Dans le monde, les grands se sont font servir mais Jésus nous donne un exemple contraire à l’esprit du monde. «Le plus grand parmi vous sera votre serviteur». Servir en se donnant. Le Christ se donne à nous dans le repas eucharistique entièrement et sans réserve.
Qu’il nous donne la force et la grâce de l’imiter.

« L’un de vous me livrera… » P.Verkys

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean13, 21-33.36-38

En ce temps-là, au cours du repas que Jésus prenait avec ses disciples, il fut bouleversé en son esprit, et il rendit ce témoignage : « Amen, amen, je vous le dis : l’un de vous me livrera. » Les disciples se regardaient les uns les autres avec embarras, ne sachant pas de qui Jésus parlait. Il y avait à table, appuyé contre Jésus, l’un de ses disciples, celui que Jésus aimait. Simon-Pierre lui fait signe de demander à Jésus de qui il veut parler. Le disciple se penche donc sur la poitrine de Jésus et lui dit : « Seigneur, qui est-ce ? » Jésus lui répond : « C’est celui à qui je donnerai la bouchée que je vais tremper dans le plat. » Il trempe la bouchée, et la donne à Judas, fils de Simon l’Iscariote. Et, quand Judas eut pris la bouchée, Satan entra en lui. Jésus lui dit alors : « Ce que tu fais, fais-le vite. » Mais aucun des convives ne comprit pourquoi il lui avait dit cela. Comme Judas tenait la bourse commune, certains pensèrent que Jésus voulait lui dire d’acheter ce qu’il fallait pour la fête, ou de donner quelque chose aux pauvres. Judas prit donc la bouchée, et sortit aussitôt. Or il faisait nuit.

Quand il fut sorti, Jésus déclara : « Maintenant le Fils de l’homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui. Si Dieu est glorifié en lui, Dieu aussi le glorifiera ; et il le glorifiera bientôt.

« Petits enfants, c’est pour peu de temps encore que je suis avec vous. Vous me chercherez, et, comme je l’ai dit aux Juifs : “Là où je vais, vous ne pouvez pas aller”, je vous le dis maintenant à vous aussi. »

Simon-Pierre lui dit : « Seigneur, où vas-tu ? » Jésus lui répondit : « Là où je vais, tu ne peux pas me suivre maintenant ; tu me suivras plus tard. » Pierre lui dit : « Seigneur, pourquoi ne puis-je pas te suivre à présent ? Je donnerai ma vie pour toi ! » Jésus réplique : « Tu donneras ta vie pour moi ? Amen, amen, je te le dis : le coq ne chantera pas avant que tu m’aies renié trois fois. »

Méditons

Jésus annonce qu’il sera trahi. Cela inquiète les disciples qui veulent savoir plus sur celui qui pourrait faire cela. Jésus connaît bien celui qui allait le livrer mais il le laisse manger avec lui. Il ne cherche pas à ’humilier publiquement ou à le dénoncer. Il en parle en terme voilé à Jean qui le lui demande. Tous ressentent la tristesse mais sont impuissants devant ce drame qui attend leur maître. Jean qui s’est appuyé sur Jésus vit cela autrement grâce à l’amour qui l’unit à son maître. Plus tard au pied de la croix il sera présent et Jésus le confiera à Marie. L’amour de Dieu, l’attachement à lui donnent le courage et la force dans les épreuves et permettent de tenir.

Quant à Judas, malgré les mots de Jésus, il reste obstiné à le livrer et il va jusqu’au bout. L’évangile dit qu’il aime l’argent, il préfère l’argent à la fidélité et l’amour de Jésus. Le matériel peut éloigner de Dieu et de son amour si nous ne faisons pas attention.
Quant à Pierre et les autres disciples, ils n’ont pas eu la force de la fidélité jusqu’au bout. Pierre qui aime pourtant Jésus et se dit prêt à mourir pour lui le renie dès les premiers instants de son arrestation. Il ne comptait que sur ses propres forces. Sachons nous appuyer sur le Seigneur par la prière et la confiance absolue.

Seigneur donne-nous de te rester fidèles jusqu’à la fin de notre vie.

Résolument, continuons à servir la vérité !

Les évêques de France se sont réunis à Lourdes du 1er au 4 avril pour leur Assemblée plénière de printemps. Les deux premiers jours ont été consacrés à la question des abus sexuels dans l’Église.

La session préliminaire sur les abus sexuels avait pour objectif de faire le point sur le rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE). « Résolument, continuons à servir la vérité » ont déclaré les évêques de France au lendemain de cette session, qui a réuni 300 participants dont des victimes, des personnes travaillant en faveur de cette cause et des experts. Les évêques de France ont voté une proposition d’accompagnement pour les personnes majeures se plaignant de violences sexuelles commises par un clerc diocésain dans l’exercice de son ministère. L’objectif étant de répondre aux besoins spécifiques et de mettre en place une pratique adaptée, permettant un chemin de reconnaissance et de restauration. « Agissons ensemble pour rendre notre Église plus sûre. Nous avons besoin de la vigilance et de l’engagement de chacune et chacun de vous pour que notre Église affronte cette crise en se laissant transformer. Nous croyons que notre Dieu est un Dieu qui libère » ont écrit les évêques, invitant les victimes à continuer à parler : « C’est la vérité qui rend libres et ouvre des chemins de guérison. »

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« Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, » P.Verkys

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean12, 1-11

Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie où habitait Lazare, qu’il avait réveillé d’entre les morts. On donna un repas en l’honneur de Jésus. Marthe faisait le service, Lazare était parmi les convives avec Jésus.

Or, Marie avait pris une livre d’un parfum très pur et de très grande valeur ; elle répandit le parfum sur les pieds de Jésus, qu’elle essuya avec ses cheveux ; la maison fut remplie de l’odeur du parfum. Judas Iscariote, l’un de ses disciples, celui qui allait le livrer, dit alors : « Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum pour trois cents pièces d’argent, que l’on aurait données à des pauvres ? » Il parla ainsi, non par souci des pauvres, mais parce que c’était un voleur : comme il tenait la bourse commune, il prenait ce que l’on y mettait. Jésus lui dit : « Laisse-la observer cet usage en vue du jour de mon ensevelissement ! Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, mais moi, vous ne m’aurez pas toujours. »

Or, une grande foule de Juifs apprit que Jésus était là, et ils arrivèrent, non seulement à cause de Jésus, mais aussi pour voir ce Lazare qu’il avait réveillé d’entre les morts. Les grands prêtres décidèrent alors de tuer aussi Lazare, parce que beaucoup de Juifs, à cause de lui, s’en allaient, et croyaient en Jésus.

Méditons

Marie ne manque pas l’occasion de manifester à Jésus son amour. Elle ne manque pas l’occasion de la rencontre. Elle ne manque pas sa chance. Elle vit en présence de Jésus ce qu’elle ressent. On peut dire que c’est une femme libre.
Elle n’a pas hésité lors de la visite de Jésus chez eux à aller s’asseoir aux pieds de Jésus pour écouter sa parole. Dans ce passage d’évangile, malgré la présence de nombreuses personnes elle va se jeter aux pieds de Jésus, les couvrir de parfum et les essuyer avec ses cheveux. Quel courage et quelle humilité ! Elle a bien compris qui est Jésus. Non seulement elle l’aime, elle l’adore. Puisse Dieu nous donner la clairvoyance nécessaire pour le rejoindre en profondeur là où il nous attend pour recueillir toutes les grâces pour notre salut.
Jésus a toujours pris la défense de Marie contre ceux qui lui font des reproches. Quand Marthe a voulu que Jésus dise à Marie de venir l’aider plutôt à la cuisine, celui-ci répondit : « Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas enlevée ». En réponse à Judas qui s’indigne du gaspillage qu’elle fait, Jésus dit :« Laisse-la observer cet usage en vue du jour de mon ensevelissement ! » Marie est loin des préoccupations de la foule. Elle se démarque par sa foi et son amour. Elle a tout compris.